mardi 25 mars 2014

Le téléchargement illégal régale...

Le téléchargement illégal régale

     


Qu'est ce que c'est ?
Le téléchargement illégal consiste à télécharger des fichiers réservés à un usage privé. En d'autre mots, il revient à acquérir un film, une musique (ect) par le biais d'internet sans payer.
Plusieurs logiciels permettent ce téléchargement (Emule, ect..). Mais il y a aussi des plate-formes, sites (ex Megaupload, qui a maintenant disparu, MixtureCloud..), qui proposent en plus du téléchargement un service dit en « streaming ». Le principe est de pouvoir regarder son film, sa série, sans aucun téléchargement, seulement en se connectant à internet. Je ne vous pousse pas à aller voir (ou peut être un peu). 
La plus grande différence entre les deux services est sans conteste le temps. En effet, même si c'est un peu moins de nos jours, le téléchargement d'un film dure à peut près une demis journée, contrairement au Streaming qui, même s'il « bug » la plupart du temps, peut être utilisé à tout moment. Et malgré ce temps, le téléchargement permet, après cette longue demis journée, de regarder sans fin votre film préféré. Et d'après un avis anonyme, le téléchargement est quand même le meilleur des deux services
Qui et combien ?

D'après les internautes (sincères), environs 49 % déclarent avoir eu recourt au téléchargement illégal ou au streaming, dont 29 % depuis plus de six mois (étude menée par la Hadopi). D'après cette même étude, 13 % des internautes déclarent avoir recours à ces actions régulièrement. C'est à dire que 36 % ne le font qu’occasionnellement. Je rappelle encore que cette étude n'est pas fiable. Elle repose sur des aveux. En effet, plus de 90 % pensent que les internautes Français le font plus.
QUI: Nous sommes tous en accord pour dire que la tranche d'age des internautes qui télécharge le plus est celle des adolescents. D'après la même étude énoncée plus haut, la consommation diminue avec l'age : 70 % des 15-24 ans déclarent consommer de façon illicite, contre 55 % des 25-39 ans et 32 % des 40 ans et plus. Un étude montre que les personnes téléchargeant illégalement consommeraient plus que les autres.
Hadopi ?
Bien qu'économique (non, sérieux?) et très facile d'accès, le téléchargement illégal est parfois la cause de sanctions lourdes.
Hadopi est une autorité luttant contre le piratage. Les, très rares, « pirates » à être repérés font, dans un premier temps, l'objet d'un mail leur étant adressé. C'est un genre d'avertissement qui leur déconseille une récidive. Si l'internaute recommence dans les 6 mois suivant le premier téléchargement, une lettre recommandée est envoyé au domicile. Seulement, et même après récidive, la téléchargement en question n'est pas souvent sujet de sanction. Entre août 2010 et avril 2011, 20 598 seconds avertissement ont été envoyées. Si la personne pirate encore une fois dans 'année qui suit, une lettre remise contre signature est envoyée.
A l'issue de la procédure judiciaire, le juge aura alors la possibilité de prononcer l'amende prévue pour les contraventions de 5e classe à l'encontre de l'internaute.
Les peines, rares, de violation du droit d'auteur par le téléchargement peuvent aller jusqu'à 300 000 euros d'amende et 3 ans d'emprisonnement. Depuis juillet 2013, la suspension de la ligne chez l'internaute pirate à été suspendue.
Les victimes

Un jeune homme de 21 ans ayant créé une plate-forme de téléchargement a été condamné à 10 mois de prison avec sursis et plus d'un million d'euros de dommages et intérêts à Thionville contrairement aux réquisitions du parquet, qui avait réclamé 6 mois de prison avec sursis. « Il ne peut pas payer » Effectivement, son site ne lui a rien rapporté.
Kim Dotcom est le PDG de Megaupload. Il a crée son site en 2005 qui a été fermé en 2012, engendrant des mécontentements de ses utilisateurs. Le FBI, qui a fermé le site, condamne Kim à environ 60 ans de prison. Un mois après son emprisonnement, le 22 février 2012, il est libéré sous caution mais avec quelques contraintes : aucun hélicoptère ne peut atterrir sur le terrain de son manoir, il doit rester dans un périmètre de 80 kilomètres autour de sa maison et prévenir les autorités au moins 24 heures avant tout déplacement en dehors de sa propriété, sauf urgence médicale, et finalement il n'a pas accès à internet.
Le tribunal de police de Belfort a condamné un homme à une amende de 150 euros pour avoir téléchargé illégalement de la musique. C'est le premier internaute connu condamné dans le cadre de cette procédure. (intervention d'Hadopi).
Les victimes du téléchargement ne sont pas seulement ceux du côté illégal. Les artistes en sont aussi victimes. Le groupe français « Sexion d'Assaut » serait la plus grosse. Au Etats-Unis, 91 millions de morceaux ont été téléchargés en 6 mois seulement. À croire que la loi Hadopi n'aide pas vraiment les artistes.
Mais vous dire d'arrêter pour le bien de nos chers artistes, ce ne serait qu’hypocrisie.

Sabria B., Juliette C., Sarah G. 


jeudi 20 mars 2014

La diffamation sur Facebook






 La diffamation sur Facebook 





               La diffamation désigne le fait de tenir des propos portant atteinte à l'honneur d'une personne physique ou morale. C’est une infraction pénale qui porte atteinte à l’honneur ou la considération qui est faite à la personne dont le fait est imputé. Le web est un support  pour la diffamation morale.
         
                Les réseaux sociaux sont les sites où l’on trouve le plus de diffamation morale dont : Facebook. Tout débute sur des propos menaçants portés sur une personne ou un groupe de personnes, si ces derniers portent plainte c’est là que l’histoire commence. Nous allons vous donnez un cas concret basé sur des professeurs diffamés par leurs élèves.





 CLIQUEZ SUR LE LIEN !

 http://lewebpedagogique.com/debattredelactualite/2010/03/07/plainte-et-exclusions-pour-diffamation-dun-enseignant-sur-facebook/








Quels sont les risques lorsqu'on diffame ?






Tout d'abord la diffamation sous toutes ces formes est un délit, elle est donc passible d’amandes et de prison, voilà précisément quelles sont les sanctions pour : 










-Diffamation non publique : amende de 1ere classe, 38
-Diffamation raciale non-publique : 4e classe, 750 €
-Diffamation publique : 12 000 € (art. 23)


- Diffamation publique envers une personne ou une institution publique : 45 000€ (art. 30 et 31)


-Diffamation publique raciale : 45 000 € (art. 32) 

-3 mois de prison pour la diffamation publique, 1 an pour la diffamation privée













Que faire lorsqu'on en est victime ?



        Si vous êtes victime d’une diffamation, vous devez réagir dans les meilleurs délais.

     En effet l’article 65 de la loi du 29 juillet 1881 dispose que l’action publique est prescrite après trois mois révolus.
       En d’autres termes, vous devez engager une procédure et déposer plainte dans ce délai.

         A défaut d’agir dans ce délai, votre plainte ne pourra plus prospérer.
       Chaque nouvel acte de poursuite (plainte, réquisitoire, citation devant le tribunal) fait courir un nouveau délai.
       
        Si la procédure est menée par le Parquet, vous vous devez de surveiller et de pallier toute inaction.
        La question du point de départ de ce délai fait l’objet d’un important contentieux.
   Il existe des délais de prescription allongés, notamment lorsque des propos racistes sont poursuivis. 

        Pour se défendre, il faut prouver que l’auteur disposait d’éléments suffisants pour croire en la vérité des faits, qu’il poursuivait un but légitime, en général un but d’information du public et qu’il a fait preuve de précaution et de mesure (parler uniquement des faits, éviter les dérives injurieuses). La seconde possibilité de défense est bien-sûr d’apporter la preuve de la véracité des informations transmises.

Léo B.
Djébril I.